Le couple franco allemand a piloté de main de maitre Mare lors du passage du Cap Finisterre, et a réussi à semer tous les participants avec une trentaine de miles en 24 heures.
Jorg Riechers et Marc Lespesqueux se sont bataillé dur, à coups d’empannages et de reglages. Du travail bien fait et une récompense immédiate, facilitée, il est vrai par un bateau, le Match40, qui semble très à son aise dans les petits airs au portant.
Groupe Picoty a réussi la performance de ne s’arrêter que trois heures à Bayona pour réparer son safran endommagé par un OFNI. Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso ont retrouvé l’humeur des grands jours. A 11 nœuds, ils cavalent comme des forcenés. Le coup de frein de la nuit prochaine pourrait bien leur être favorable pour revenir sur leur 180 milles de retard.
Pépites du large
Jacques Fournier, Groupe Picoty : « Nous avons fait jouer un petit réseau de connaissances qui sont venus nous donner un coup de main à 3 h du matin, et à 6 h 30, nous étions repartis. Si on n’avait pas eu d’aide, on n’aurait jamais pu repartir avant midi. L’ambiance est bonne. On est en train de faire une stratégie gagnante pour revenir sur les petits copains et les coiffer sur la ligne. »
Ludovic Aglaor, Jack in the Box : « On était pourtant briefés avant le départ : "les gars, faites hyper gaffe à ne pas raser le cap avec ce vent s'il est au-delà de 70°", et nous avec du 90°, on se dit que ça va le faire !!! Avec un peu de fatigue, l'envie de prendre des raccourcis et, il faut bien l'avouer, un goût pour les chemins risqués, voire mal famés, nous nous sommes fait coller comme des collégiens pris à fumer leur première cigarette dans les toilettes en séchant le cours de latin par-dessus le marché, verdict 12 heures de colle ibérique pour avoir été des bourriques, sévère mais juste. »
Fabrice Amedeo, Geodis : « Tout va bien. Pas d’incident à déplorer, juste la drisse de spi qui a lâché tout à l’heure et le spi qui est passé à l’eau mais on a tout récupéré et tout va bien. On va avoir le franchissement d’une dorsale demain, on ne va pas avoir beaucoup de vent et ce qui va être déterminant, c’est une dépression qui va passer en fin de semaine. »
Sébastien Rogues, Eole Generation – GDF-SUEZ : « Notre rythme est pris et nous sommes assez contents ! Pour le moment, on navigue au vent portant, le bateau glisse bien. La nuit s'est bien passée, prochain objectif : Les Açores. Où et comment ? Je ne peux vous le dire… C'est notre petit secret avec Bertrand. A plus, les terriens et n'oubliez pas… SOYONS SOLIDAIRES !!! »
Jorg Riechers et Marc Lespesqueux se sont bataillé dur, à coups d’empannages et de reglages. Du travail bien fait et une récompense immédiate, facilitée, il est vrai par un bateau, le Match40, qui semble très à son aise dans les petits airs au portant.
Groupe Picoty a réussi la performance de ne s’arrêter que trois heures à Bayona pour réparer son safran endommagé par un OFNI. Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso ont retrouvé l’humeur des grands jours. A 11 nœuds, ils cavalent comme des forcenés. Le coup de frein de la nuit prochaine pourrait bien leur être favorable pour revenir sur leur 180 milles de retard.
Pépites du large
Jacques Fournier, Groupe Picoty : « Nous avons fait jouer un petit réseau de connaissances qui sont venus nous donner un coup de main à 3 h du matin, et à 6 h 30, nous étions repartis. Si on n’avait pas eu d’aide, on n’aurait jamais pu repartir avant midi. L’ambiance est bonne. On est en train de faire une stratégie gagnante pour revenir sur les petits copains et les coiffer sur la ligne. »
Ludovic Aglaor, Jack in the Box : « On était pourtant briefés avant le départ : "les gars, faites hyper gaffe à ne pas raser le cap avec ce vent s'il est au-delà de 70°", et nous avec du 90°, on se dit que ça va le faire !!! Avec un peu de fatigue, l'envie de prendre des raccourcis et, il faut bien l'avouer, un goût pour les chemins risqués, voire mal famés, nous nous sommes fait coller comme des collégiens pris à fumer leur première cigarette dans les toilettes en séchant le cours de latin par-dessus le marché, verdict 12 heures de colle ibérique pour avoir été des bourriques, sévère mais juste. »
Fabrice Amedeo, Geodis : « Tout va bien. Pas d’incident à déplorer, juste la drisse de spi qui a lâché tout à l’heure et le spi qui est passé à l’eau mais on a tout récupéré et tout va bien. On va avoir le franchissement d’une dorsale demain, on ne va pas avoir beaucoup de vent et ce qui va être déterminant, c’est une dépression qui va passer en fin de semaine. »
Sébastien Rogues, Eole Generation – GDF-SUEZ : « Notre rythme est pris et nous sommes assez contents ! Pour le moment, on navigue au vent portant, le bateau glisse bien. La nuit s'est bien passée, prochain objectif : Les Açores. Où et comment ? Je ne peux vous le dire… C'est notre petit secret avec Bertrand. A plus, les terriens et n'oubliez pas… SOYONS SOLIDAIRES !!! »
Classement de la Solidaire du Chocolat 2012 - 14/03/2012 à 14:00